Quatre niveaux d’action sont possibles :

 

Éducation et soutien de base de la population, surtout la plus défavorisée, par la mise en place de « Maisons du Diabète », insertion de celles-ci dans les communautés locales de façon à en assurer la pérennité. Le dépistage, isolé ou de masse comme à Kinshasa en fait partie. Il s’agit d’actions pilotes destinées à être transférées ultérieurement à une structure nationale.

 

Formation complémentaire des infirmiers à la diabétologie primaire, lors de sessions de groupe sous l’égide de l’ANIC, en visant une reconnaissance officielle de la formation mais sans occuper la place dévolue à l’Etat. De telles sessions ont déjà été réalisées en novembre 2013 à Kinshasa pour une septantaine d’infirmiers. Notre intervention devrait se limiter à un rôle d’enseignants.

 

Formation spécialisée des médecins du terrain à la diabétologie clinique et cours de diabétologie en doctorat dans les universités locales lorsque c’est possible.

 

Développer des structures d’approvisionnement des patients en médicaments bon marché mais de qualité.

 

Formation diabète Congo
Séance de formation et de sensibilisation au diabète.

En nous limitant aux secteurs du dépistage, de la formation et de l’éducation nous voulons amener les acteurs du terrain à pouvoir finalement… se passer de nous !